Apollon & les Muses – Couperin
Apollon & les Muses – Couperin
Dépassant la joute qui opposa les styles français et italiens, François Couperin en proposa la réunion dans Le Parnasse ou Apothéose de Corelli publié dans le recueil Les Goûts-réünis.
Cette admirable synthèse s’éleva au rang d’allégorie dans le Concert instrumental sous le titre d’Apothéose composé à la mémoire immortelle de l’incomparable Monsieur de Lully.
Apollon y rassemble Lully et Corelli, muses françaises et muses italiennes, pour faire sonner l’harmonie parfaite dans la paix retrouvée du Parnasse, aux timbres mêlés des cordes et des vents de l’Ensemble Baroque de Nice.
ENSEMBLE BAROQUE DE NICE
Gilbert Bezzina, Laura Corolla, violons
Johanne Maitre, flûtes & hautbois
Mélanie Flahaut, flûtes & basson
Étienne Mangot, viole de gambe
Vera Elliott, clavecin
Sergio Basilico, théorbe
PROGRAMME
François Couperin (1668-1733)
Les Nations – Second Ordre, L’Espagnole
Gravement & marqué ; vivement ; doux et
affectueusement ; légèrement ; vivement &
marqué – Allemande – Courante – Seconde courante – Sarabande – Gigue – Gavotte – Rondeau – Bourrée – Double de la Bourrée – Passacaille
François Couperin (1668-1733)
Concert instrumental sous le titre
d’Apothéose composée à la mémoire
immortelle de l’incomparable Monsieur de Lully
Lulli aux Champs Élisées, gravement – Air pour les mêmes, gracieusement – Vol de Mercure aux Champs Élisées, très viste – Descente d’Apollon, noblement – Rumeur souterraine, viste – Plaintes des mêmes, dolemment – Enlèvement de Lulli au
Parnasse, très légèrement – Accueil entre doux et agard, largo – Remerciement de Lulli à Apollon, gracieusement – Apollon persuade Lulli et Corelli – Essai en forme d’ouverture – Élégamment, sans lenteur – Air léger – Second air
La Paix du Parnasse, sonade en trio
Gravement – Saillie – Rondement – Vivement
Saison 2014/2015
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