Les Ombres errantes – Couperin, Froberger
Vera Elliott, clavecin
Les Ombres errantes – Couperin, Froberger
Vera Elliott, clavecin
Le clavecin, instrument baroque par excellence, orne châteaux, salons et demeures bourgeoises durant tout le Grand Siècle et jusqu’à la Révolution.
Les plus grands musiciens de l’époque lui dédient une riche littérature soliste, dont le virtuose Louis Marchand et surtout les Couperin : Louis, chef de lignée d’une longue dynastie de musiciens et François, son neveu, dit « Le Grand », compositeur à la cour de Louis XIV et célèbre claveciniste.
Dans un subtil jeu de contrastes, Vera Elliott nous offre un récital en ombres et lumières, parcours entre les clavecins français et allemand, avec son illustre représentant Froberger. D’Ombres errantes en Tombeaux, de la Lugubre à la Ténébreuse, la Favorite ou la Piémontaise viennent y danser pavanes, gigues, chaconnes et passacailles.
PROGRAMME
Johann-Jacob Froberger (1616-1667)
Tombeau fait à Paris sur la mort de Monsieur Blancheroche – Toccata – Ricercar
Suite XVIII en sol mineur
Allemande – Gigue – Courante – Sarabande
Louis Couperin (1626-1661)
Prélude à l’imitation de Mr. Froberger
Pièce de trois sortes de mouvements
La Piémontaise
Pavane en fa # mineur – Passacaille
Louis Marchand (1669-1732)
Livre premier (1702) en ré mineur (extraits)
Prélude – Allemande – Courante – Sarabande
Gigue – Chaconne
François Couperin dit « Le Grand » (1668-1733)
Allemande « La Ténébreuse » – Courante Sarabande
« La Lugubre » – Les Ombres Errantes
Chaconne à deux temps « La Favorite »
Saison 2015/2016
AUTOUR DU CONCERT
Mercredi 20 avril 2016 – 17h
Auditorium, BMBR Louis Nucéra | Nice
CONFÉRENCE
Véronique Mérieux, maître de conférences au département d’Études italiennes de l’Université Nice Sophia-Antipolis
De la clarté universelle de la Renaissance aux clairs-obscurs baroques. Le basculement vers la complexité irréductible du monde
Entrée libre
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